19 juin 2009
Solit Lobscur
On sent que ce n’est pas du faux semblant. Obscur, Solit ne l’est pas, mais par la musique de lui jaillit le malaise que l’on sait, que l’on connaît et dont on a peur. Celui qui finit comme la poussière, sous le paillasson. Le mot revient souvent. Ghetto. Là ou l’intelligentsia met son veto pour que l’autre partie de la société puisse oublier et consommer à souhait. Pourquoi enfermer les gens ? Ils le sont déjà. Heureusement que la musique est là. Ecoutez dans la radioblog.
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